Il me semble que, quand on vieillit, on devient plus tolérant aux défauts des autres, et on comprend que chacun est comme il peut. Mais on devient aussi plus exigeant quant aux personnes que l’on a envie de fréquenter et de voir souvent : on souhaite des liens d’affection forts et légers à la fois…
Christophe André
Les chroniques de Koryfée, blog littéraire de Karine Fléjo 