
Citation du jour

Il en est des notes de musique comme des voyages, les deux transportent des émotions, une destination vers le bonheur et rien d’autre. »
Sophia Sherine Hutt
Vivre connecté à soi, à son cœur, à son âme, permet de connaître son chemin de vie. Savoir ce qui nous correspond vraiment, pourquoi on est ici, en quoi on pet servir la vie au mieux de ses capacités. Quand on avance sur ce chemin, on est en accord avec soi-même et au plus près du vrai bonheur.
Cécile Pardi – Les chevaux du cœur (Albin Michel)
Beaucoup pensent qu’écrire c’est reporter. Que parler de soi, c’est raconter ce qu’on a vu, rapporter fidèlement la réalité dont on a été le témoin. Au contraire, moi je voudrais raconter ce que je n’ai pas vu, ce dont je ne sais rien mais qui pourtant m’obsède. raconter ces évènements auxquels je n’ai pas assisté mais qui font néanmoins partie de ma vie. Mettre des mots sur le silence. Défier l’amnésie. la littérature ne sert pas à restituer le réel mais à combler les lacunes, les vides. on exhume et ne même temps on crée une réalité autre.
Leila Slimani – Le parfum des fleurs la nuit
On le voit bien. Malgré toute la place que le numérique a prise dans notre vie, la proportion des lecteurs sur tablette reste dérisoire. Le rapport sensuel, palpable avec le volume, demeure essentiel.
Philippe Delerm – La vie en relief
Quand les vents du changement soufflent, certains bâtissent des murs, d’autres bâtissent des moulins à vent.
Proverbe chinois
C’est fort de sentir chez les enfants la force des choses. on ne les éprouve pas comme eux, sûrement pas aussi grand. Mais l’intensité de leurs sensations nous frôle.
Philippe Delerm – La vie en relief
Le malheur, c’est de perdre quelqu’un. Le bonheur, c’est d’avoir quelqu’un à perdre.
Philippe Delerm – La vie en relief (éditions du Seuil)
Le réel est étroit, le possible est immense.
Alphonse de Lamartine
Lire nous était aussi naturel que respirer. Au moindre moment libre, il nous fallait nous asseoir, seuls dans un coin tranquille et tourner les pages d’un livre.
Haruki Murakami – Les amants du spoutnik